lundi 18 novembre 2019

Un article pour la planete : Manger moins de viande



Manger moins de viande, c’est…
rester en bonne santé, faire des économies d'argent, diminuer drastiquement son empreinte carbone…

Aujourd’hui, 75 % des terres agricoles dans le monde servent à élever du bétail –  c’est-à-dire à nourrir des bêtes qui serviront, ensuite, à nous nourrir.
Notre mode de vie carnivore, réservé à une poignée de privilégiés, exerce une pression telle sur notre planète qu’il déstabilise les écosystèmes. Destruction de la biodiversité et déforestation, émissions de gaz à effet de serre et changements climatiques, pollution des cours d’eau, mainmise des multinationales au détriment des petits agriculteurs, mais aussi souvent cruauté animale et impacts néfastes sur la santé humaine…
Notre consommation effrénée de viande et de produits laitiers issus de l’élevage industriel a des effets délétères à bien des égards

Dans de nombreux pays, l’élevage contribue à la déforestation car les terres boisées sont rasées soit pour en faire des zones de pâturage pour le bétail, soit pour produire des cultures (très souvent du soja) qui sont ensuite utilisées pour nourrir les animaux.
En Amazonie brésilienne, par exemple, 63% de la déforestation est due à l’élevage. Le soja qui y est produit sert directement à nourrir le bétail sur place, mais il est aussi largement exporté. Il est alors utilisé sous forme de tourteaux ou de farine qui servent notamment à nourrir nos vaches laitières, cochons et volailles. Le Brésil est ainsi le premier exportateur mondial de bœuf et de cuir. La France est un important importateur de soja et plus spécifiquement de tourteaux de soja. Elle importe entre 3 et 3,5 millions de tonnes de soja par an, et environ 60% de ces 3 millions de tonnes (1,8 Million de tonnes environ) viennent du Brésil.


Aujourd’hui, à l’échelle mondiale, l’élevage représente 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre – soit autant que le secteur du transport !

L’élevage industriel contribue à gaspiller l’eau. En effet, la production de viande et d’œufs nécessite des quantités d’eau plus importantes que celle de céréales et de légumineuses.

Il suffirait de diviser par deux notre consommation de protéines animales pour dégager assez de nourriture pour deux milliards de personnes supplémentaires.
Greenpeace recommande ainsi un maximum d’environ 16 kg de viande issus de l’élevage écologique par personne et par an (soit environ 300 g par semaine) et 33 kg de lait par personne et par an (soit un peu plus d’un demi litre de lait par semaine).


Depuis le 1er novembre, les cantines scolaires proposent un menu végétarien une fois par semaine, mais pourquoi ?
Aujourd’hui, à l’échelle mondiale, l’élevage représente 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre – soit autant que le secteur du transport !, 1 kg de viande bovine produit 27 kg de GES, 75 % de la surface agricole sont utilisées pour produire de la viande, produire 1 kg de bœuf il faut 13 500 l d’eau (1 200 pour 1kg de blé).
Consommer de la viande n'est donc pas sans conséquences pour l'environnement et pour la santé.
Mais alors, comment changer nos habitudes ? Voici quelques pistes…
Enlevez la viande le soir
Le dîner est l’un des trois repas obligatoires de la journée, mais il s’agit du dernier repas que vous mangerez avant d’aller vous coucher. Votre dépense énergétique entre le moment du dîner et le moment du coucher sera donc faible. Pour cette raison, il est vivement recommandé de privilégier des recettes légères et équilibrées pour le soir. Un repas léger le soir n’est pas synonyme de repas ennuyeux !
Programmez les jours sans viande
Comme toute habitude, si vous êtes décidé-e à en changer, elle ne sera pas aisée à modifier. Commencez par programmer un jour sans viande chaque semaine (midi et soir). Puis, quand vous êtes habitués, passez à deux jours sans viande, puis trois, etc.
Commencez par la viande rouge, puis passez aux autres viandes
C’est la moins bonne pour vous et pour l’environnement, alors, dans le même esprit d’une transition progressive, commencez par réduire votre consommation de viande rouge pour la remplacer par de la viande blanche. Puis vous pourrez réduire votre consommation de volaille. Donnez-vous le temps qu’il faut, un, deux ou trois mois par exemple, et vous verrez que le sentiment de manque disparaîtra progressivement.
Adoptez le flexitarisme ?
Sans devenir végétarien, le régime FLEXITARIEN peut être adopté petit à petit : un maximum de fruits et légumes, des œufs, du poisson et un peu de viande pour se faire plaisir, quand on sait qu’elle est de bonne qualité, quand on est chez des amis, au restaurant.
Greenpeace recommande ainsi un maximum d’environ 16 kg de viande issus de l’élevage écologique par personne et par an (soit environ 300 g par semaine) et 33 kg de lait par personne et par an (soit un peu plus d’un demi litre de lait par semaine).


Sources :
« ça commence par moi » série changer d'alimentation - je deviens végétarien
DONNES CHIFFREES  : PLANETOSCOPE, GREENPEACE, 2017

lundi 16 septembre 2019

Ramassage des déchets le long de la RD106

L'association CHEN organise un ramassage des déchets le long de la RD106 le Samedi 28 Septembre prochain.
Nous étions une douzaine , réparti en 3 groupes le long de la RD106 entre le bourg de chasné et l'entrée de Liffré.
La matinée n'a pas été de tout repos, car des déchets il y en avait !!!
Nous avons ramassé 40 Sacs de déchets sur les 3.7 kms de route en grande majorité du plastique mais aussi des cannettes alu, des bouteilles en verre et 3 pneus !!!!

Pendant tout le trajet nous avons reçu les encouragements des passants, certains se sont même arrêtés pour nous aider .





Bravo à tous 

samedi 25 mai 2019

L'association CHEN nettoie le chemin du chêne chaugont





A l'occasion de la fête de la nature, l'association CHEN a débroussaillé le chemin qui part du chêne chaugont pour aller à la Calceudais.
4 membrs de l'assocation ont ouvré 2h durant pour ouvrir une trace dans les herbes et brousailles.
Pour un bénéfice immédiat car  un groupe de VTTiste et de cavaliers ont emprunté le chemin dès le matin.

Ce chemin est inclus sur les chemins VTT de la commune, mais est ouvert à toute pratique non motorisé. "Nous invitons tous les randonneurs à emprunter ce chemin afin de maintenir la trace et surtout de découvrir la biodiversité dans laquelle il se noie".